Avr 27, 2012
Données bibliographiques / Bibliografische Daten |
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Auteurs / Autoren: | HAVERKATE, GOERG; |
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Source / Fundstelle: | IN: REVUE INTERNATIONALE DE SECURITE SOCIALE. 1985. NUMERO 4. P. 460 - 473. |
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Revue / Zeitschrift: | Revue internationale de sécurité sociale |
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Année / Jahr: | 1985 |
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Type / Typ: | |
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Catégorie / Kategorie: | Sozialrecht |
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Mots clef / Schlagworte: | Bundesverfassungsgericht, Politik, SOZIALSTAAT, SOZIALVERSICHERUNG, Staat, Versicherung, VERSICHERUNG, KRANKEN-, VERSICHERUNG, RENTEN-, VERSICHERUNG, SOZIAL-, VERSICHERUNG, UNFALL-, VORSORGE, AIDE SOCIALE, ASSURANCE, ASSURANCE ACCIDENT, ASSURANCE MALADIE, ASSURANCE RETRAITE, ASSURANCE SOCIALE, ASSURANCE VIEILLESSE, CAISSE D'ASSURANCE MALADIE, Cour constitutionnelle Fédérale, DROIT SOCIAL, ETAT, ETAT-PROVIDENCE, POLITIQUE, POLITIQUE SOCIALE, PREVOYANCE, SECURITE SOCIALE |
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LA SECURITE SOCIALE EST UNE ASSURANCE FONDEE SUR LE PRINCIPE DE MUTUALITE ET, BENEFICIE D'UN STATUT AUTONOME SOUS LA TUTELLE DE L'ETAT.
REFLEXIONS SUR SON FONCTIONNEMENT.
Avr 27, 2012
Données bibliographiques / Bibliografische Daten |
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Auteurs / Autoren: | BROCAS, ANNE-MARIE; DURIEZ, MARC; DURIN, FRANCOIS; WAHL, STEPHANIE; |
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Source / Fundstelle: | IN: (TRAVAUX ET DOCUMENTS DU CIRAC). PARIS. CIRAC (CENTRE D'INFORMATION
ET
DE RECHERCHE SUR L'ALLEMAGNE CONTEMPORAINE) 1991. NUMERO 17. 132 P. |
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Année / Jahr: | 1991 |
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Type / Typ: | |
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Catégorie / Kategorie: | Rechtsvergleichung, Sozialrecht |
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Mots clef / Schlagworte: | SOZIALSTAAT, DROIT COMPARE, DROIT SOCIAL, ETAT SOCIAL, ETAT-PROVIDENCE |
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DANS LEURS RAPPORTS, LES AUTEURS PRESENTENT LES AXES THEMATIQUES DE LA RECHERCHE SUR L'EVOLUTION SOCIALE DANS LEUR PAYS RESPECTIF. LES RAPPORTS REFLETENT EGALEMENT LES DIFFERENCES, TANT DANS LES STRUCTURES DES SYSTEMES DE PROTECTION SOCIALE QUE DANS L'ORGANISATION DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE DE CES SYSTEMES. ILS METTENT PAR LA MEME EN EVIDENCE LES INTER- ACTIONS ENTRE LA REFLEXION SCIENTIFIQUE ET LA DECISION POLITIQUE DANS LES DEUX PAYS. LES DIFFERENCES CONSTATEES DANS L'ATTENTION PORTEE PAR LES CHERCHEURS AUX DIFFERENTS "SOUS-SYSTEMES", DANS LE CAS DE L'AIDE A LA FAMILLE PAR EXEMPLE, TRADUISENT AINSI LES TRADITIONS DISTINCTES DANS LA POLITIQUE ET L'ACTION SOCIALE VOIRE DANS LA CULTURE POLITIQUE DES DEUX PAYS. [BIBLI BIJUS: F. 15]
Sep 8, 2001
Cette étude retrace l'évolution des fonctions et missions de l'État allemand depuis sa réunification, et des instruments développés ou redécouverts pour mener celles-ci à bien.
La problématique de l’État en République fédérale d’Allemagne s’inscrit dans une double dimension, celle, générale, de l’État, et celle, particulière, de l’État dans l’Allemagne réunifiée. Le processus de globalisation des marchés financiers et des investissements, de la production et des échanges de biens, de services et d’information et celui de la constitution de mécanismes régulant l’interdépendance, dont l’exemple ou l’exception même est la Communauté/Union européenne, modifient les fonctions de l’État. Partant, l’État se restructure, accroissant notamment son rôle régulateur dans la mesure où, par exemple, la politique de privatisation de propriétés publiques s’accompagne d’une re-régulation, c’est-à-dire de la multiplication de nouveaux modes de régulation qui ne reposent pas sur le contrôle direct d’industries nationales. L’histoire des États, européens en particulier, n’est-elle pas précisément celle d’États inventant en permanence de nouvelles fonctions – dont l’État providence est l’exemple le plus frappant, apparu au XIXe siècle lorsqu’une politique d’assurance se substitua à une logique d’assistance – à mesure qu’ils en abandonnaient d’autres ?
Cette problématique s’applique à l’Allemagne comme à d’autres États industrialisés. La restructuration de l’État y est néanmoins particulière dans la mesure où cet État agrandit son territoire et sa population, octroyant aux nouveaux Länder des règles dont l’application entraîne des aménagements locaux qui transforment par là même celles-ci dans tout leur champ d’application. C’est précisément ces règles et ces transformations qu’il s’est agi ici d’étudier, nous conduisant à poser une double question. D’une part, ces transformations induisent-elles plus d’État ou moins d’État ou, plus précisément, l’État n’est-il pas conduit à créer, dans certains cas, de nouveaux instruments de régulation par le biais d’institutions qu’il ne contrôle pas mais avec lesquelles il doit négocier (tels que les organismes de régulation des télécommunications et, un temps durant, la Treuhandanstalt, chargée de privatiser les biens de l’ancien État communiste) ? D’autre part, l’État allemand n’est-il pas, en dernier ressort, mieux adapté que d’autres à exercer ces nouvelles fonctions dans la mesure où il est, depuis longtemps, un État-négociateur, partageant avec des acteurs sociétaux des fonctions de régulation ?